Fréquences intangibles
Fréquences intangibles
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Londres, 1924. La ville était enveloppée d’une brume épaisse qui s’accrochait aux réverbères, étouffant l'éclairage faiblarde des lampes à gaz. Dans un modeste foyers du quartier de Bloomsbury, seul du scandale des rues animées, un emploi de radio émettait un léger grésillement, de façon identique à un murmure originaire d’un autre entourage. Eleanor Harcourt, une homme de vocation par les sciences énigmatiques et les plus récentes développées technologiques, était penchée sur l’appareil, ajoutant les cadrans avec une rigueur méticuleuse. Depuis 2 mois, elle s’intéressait à une projet peu conventionnelle : celle en suivant lequel quelques fréquences radio pouvaient captiver plus que de simples messagers terrestres. La voyance, disait-on, pouvait se manifester sous bien des silhouette. Certains lisaient l’avenir dans les cartes, d’autres dans les songes, mais Eleanor était persuadée qu’il existait un autre moyen d’entrer en contact avec l’invisible. Les forces radio, ces fréquences inaudibles à l’oreille humaine, avaient le bienfait d’intercepter des voix venues d’ailleurs. Elle tourna délicatement un bouton, affinant la régularité, et laissa le silence s’installer dans la bague. Seul le bruit du grésillement emplissait l’espace, varié, comme une inspiration mécanique. Puis, soudainement, des attributs changea. Un son divers émergea du exercice professionnel, un écho lointain, une énergie presque inapparent sous le bruit de fond tranquille. Eleanor retint son caractère et tendit l’oreille. C’était une voix. Faible, déformée par l’interférence, mais correctement réfléchie. Elle augmenta lentement le volume, sentant un frisson lui vaincre l’échine. La voyance lui avait généreusement paru être simplement libertinage réservé aux diseurs de bonne aventure, aux symboliques, aux êtres dans la capacité de pouvoir percevoir l’invisible sans l’aide des équipements. Mais là, devant elle, un ample appareil en bakélite et en cuivre semblait charmer une information venu d’un autre générations, d’un autre lieu. La voix s’éleva, plus claire et nette cette fois. Un mot. Un homonyme. Le sien. Eleanor recula brusquement, les battements de son cœur résonnant dans ses tempes. Quelque étape, ou quelqu’un, savait qu’elle écoutait. Et la voyance venait de faire usage une toute nouvelle dimension.
Le silence régnait dans l’appartement d’Eleanor Harcourt, rien que troublé par le bas crépitement des braises dans la cheminée. L’obscurité s’appesantissait sur les murs tapissés de livres et d’appareils de vers, mais ses chakras restait enfermé dans ce qu’elle venait d’entendre. La radio, cette conte moderniste censée charmer les messages terrestres, venait de lui envoyer une information qui ne ressemblait à rien de fait l'expérience. Son appellation, fixe de trois mots dans une langue inconnue, puis un silence dictatorial. La voyance s’exprimait par des traces, et elle savait qu’il n’y avait pas de coïncidences. Elle s’approcha du accomplissement professionnel défunt, l’effleura du lisière des main. Le métal était indolent, beaucoup plus qu’il ne devrait l’être à la suite une longue emploi. Une perception désagréable parcourut sa coeur, à savoir si l’appareil conservait une empreinte résiduelle de ce qui venait de se produire. Elle reprit son carnet et relut les trois mots qu’elle avait notés. Ils ne lui évoquaient rien, mais leur sonorité lui rappelait des attributs d’ancien, quelque chose qu’elle n’arrivait pas à nommer. Elle sortit d’un tiroir un vieux dictionnaire de langues mortes, feuilleta neuf ou 10 résultats au sort. Latin ? Trop éloigné. Grec ? Non plus. Peut-être un dialecte oublié… Puis une idée la saisit. Elle se leva précipitamment et se dirigea technique poétique une rayon où étaient empilés des manuscrits d’occulte et de sciences interdites. Parmi eux, un propose en particulier attira son empressement. ' Les Fréquences du Néant ', un ouvrage qu’elle avait trouvé chez un libraire spécialisé dans les mystères inexpliqués. Elle l’ouvrit fébrilement et parcourut les premières résultats. Puis son spectre se coupa. Les trois signes qu’elle avait entendus figuraient là, inscrits sur un parchemin jauni datant du XVIIe siècle. Elle ne comprenait pas leur signification, mais elle savait ce qu’ils représentaient. Ils appartenaient à un traditionnel accoutumance de communication avec ce que certains appelaient les voix perdues. Des sons captés sur des fréquences interdites. Des signaux en provenance d’endroits où la évocation humaine ne s’aventurait plus. Un frisson glissa le long de son échine. La voyance lui avait offert une porte technique poétique l’invisible. Mais sur le coup qu’elle avait apprécié un pied de l’autre côté, elle n’était plus indiscutable de préférer en inclure encore plus.